Une petite famille sur la route des amériques, du sud vers le nord, composée de cinq merveilleuses personnes :-). Nous habitons à Gradignan, en Gironde.
Valérie, 35 ans, 70 kilos (pardon, 60, et j’entends derrière moi « tu mets pas mon poids, ça va pas, non ? »), 1m75, mensurations 120 – 50 – 120. Adore avant tout les blagues de son mari, bref, tout parfait.
De son état professeur de mathématiques, Valérie a toujours plus ou moins fait l’impasse sur le sport. L’une de ses répliques les plus célèbres fut, il y a quelques années, en me voyant partir pour la deuxième fois de la semaine faire du footing, de s’exclamer « Hein ? Tu vas courir ? Mais tu l’as déjà fait une fois, ça ! » Pour être tout à fait honnête, elle s’est beaucoup rattrapée, depuis. Cuisinière hors pair, organisée, elle est une des 3,4 seules femmes de la planète terre à savoir lire une carte (si si, j’insiste), ce qui ne manquera de nous servir, par exemple pour rectifier mes erreurs de conduites – sait-on jamais ?…
Christian, 40 ans tout juste, 85 kilos dont 84 pour le cerveau et 10 grammes pour les cheveux, un humour époustouflant et léger, aucune connaissance de la mécanique automobile, jamais parlé un mot d’espagnol : le profil idéal pour emmener sa famille pour un périple de un an sur le continent américain. Entreprendre, photographier, lire, écrire, le tout avec dix idées par jour et autant d’envies … il faudra bien un long voyage pour faire le tri de tout ça !
Hugo, 10 ans, curieux, passionné de jeux (vidéo…) et par la nature, terrorise ses deux soeurs quand il n’est pas occupé à jouer au soldat. Très habile de ses mains, il adorerait se bricoler une petite cabane en amazonie.
Léna, 8 ans, sens inné du relationnel, très curieuse, très bavarde, et aime jouer de la guitare. Courageuse voire téméraire surtout quand son papa est devant. Compte bien mettre la patée à tout la famille pour l’apprentissage de l’espagnol.
Chloé, 4 ans, la terreur de l’équipe, « angelitto » comme disaient les italiens lors de nos vacances en 2008, adore les bébés et les coups en douce. Elle a surnommé le camping-car le « tampicar », terme adopté par la famille.
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